Notre environnement : notre bien le plus précieux
La prise de conscience pour la sauvegarde de notre planète, avec tout bonnement l'objectif de pour pouvoir y (sur)vivre, est en cours.
Développement durable et autres appellations en sont les labels. Mais pour autant, trop nombreux sont ceux qui n'ont que faire de tout ce discours - assimilé à une doctrine post-soixante huitarde attardée - et qui continuent leurs pratiques sans se poser de question, sans se poser la question : dans quel état léguerons-nous la planète aux générations futures ?
Un appel est lancé par un collectif, auquel il est possible de souscrire ici, et relayé par les associations 350.org et Attac.fr. A quelques semaines du rendez-vous de la COP 21, l'enjeu dépasse toutes les frontières, qu'elles soient géographiques, économiques ou humaines.
Après une annonce surprenante, et la publication d'un ouvrage relatant l'investigation, il semble bien que le célèbre meurtrier anglais n'a pas fini de faire couler l'encre. Un article paru dans
Saleté de cochonnerie de virus ! Voilà en substance à quoi me fait penser Ebola. Et je tiens un discourt très similaire au sujet des inventeurs de cette monstruosité... mais sur ce sujet, "on" m'objectera qu'aucun humain n'est à l'origine de ce virus !
Une fois n'est pas coutume : un peu de sérieux. L'