Après une première expérience d'ouverture - cf. les variations Goldberg - la pianiste Kimiko Ishizaka poursuit son projet d'enregistrement des oeuvres de Jean-Sébastien Bach, en s'attaquant au "clavier bien tempéré", dont le prélude n° 1 est encore dans toutes les têtes.
L'oeuvre est placée sous licence Creative Common "zéro", geste de générosité de l'artiste mais qui n'empêche pas la donation.
A l'instar du prix Nobel, le prix Ig Nobel - jeu de mot sarcastique qui peut se lire "ignobel", soit français "ignoble" - récompense annuellement des lauréats auteurs de découvertes ou d'études pour le moins surprenantes, au premier abord risibles, mais qui ne peuvent manquer d'interroger.
La cérémonie a eu lieu la 17 septembre dernier et les prix décernés récompensait dix travaux que d'aucuns trouveront certainement hautement philanthropiques et utiles à l'évolution de l'humanité. La recherche a encore de beaux jours devant elle...
Je poursuis sur la route de l'environnement en relayant ce projet destiné à lutter, à sa manière, contre les produits phytosanitaires et autres cochonneries dont on nous arrose copieusement (et qui font le bonheur de certains laboratoires sans vergogne...).
L'auteur, réalisateur du documentaire, finance son projet en sollicitant une participation générale. A bon entendeur, merci.
La prise de conscience pour la sauvegarde de notre planète, avec tout bonnement l'objectif de pour pouvoir y (sur)vivre, est en cours.
Développement durable et autres appellations en sont les labels. Mais pour autant, trop nombreux sont ceux qui n'ont que faire de tout ce discours - assimilé à une doctrine post-soixante huitarde attardée - et qui continuent leurs pratiques sans se poser de question, sans se poser la question : dans quel état léguerons-nous la planète aux générations futures ?
Un appel est lancé par un collectif, auquel il est possible de souscrire ici, et relayé par les associations 350.org et Attac.fr. A quelques semaines du rendez-vous de la COP 21, l'enjeu dépasse toutes les frontières, qu'elles soient géographiques, économiques ou humaines.
La très honorable British Library a versé dans le domaine public un important fonds constitué d'un million d'images à Flick.com, libérant de cette façon des ressources jusqu'ici sous copyright . Le geste mérite d'être salué, d'autant que pour une fois la Perfide Albion l'est beaucoup moins que la BNF qui suit un chemin diamétralement opposé...