Voici un parfait petit manuel du tueur à gages : tout ce qu'il faut pour tuer simplement et sans se faire prendre, ce qui d'aventure est essentiel pour qui veut perdurer dans le métier. Ecrit avec un langage percutant et direct, ce premier opus de la Trilogie de Glasgow de Malcom MacKay ne manque ni de piment ni de sel. A savourer, pas seulement à l'heure de l'apéritif.
Une nouvelle fois, la fin du monde est annoncée. Il faut dire, qu'à un moment ou un autre, à force d'annonces, elle finira bien par arriver !
Après une succession de prédictions , de fait toutes erronées - nous sommes encore là pour en témoigner - la nouvelle est issue de la mythologie nordique, comme retracé dans cet article de 20Minutes . La fin est donc pour samedi prochain, avec un peu de chance, à l'heure de l'apéritif.
L'idée que le monde va vers sa fin n'est pas nouvelle et elle remonte à la nuit des temps, le christianisme en colporte lui-même le message. Après les millénaristes déçus, les mayas et l'erreur de calcul , voici venu le temps de Ragnarök ...
Suffisamment rare pour être évoqué, les éditions ENI mettent à disposition de tous les curieux leur bibliothèque numérique accessible sur le site de l'éditeur. Cette opération est limitée dans un temps contraint : d'aujourd'hui, 11 février 2014 au 13 février 2014 23h59.
Les éditions ENI sont orientées sciences et nouvelles technologies, il sera donc difficile d'y trouver un bon roman noir.
Néanmoins, le fait mérite d'être souligné et colporté !
La dépêche à l'origine de ce billet est sur Linuxfr.org
Le titre est trompeur, mais l'idée est là. "Des fauves et des hommes " de Patrick Graham semble prendre ses racines dans le terreau de Steinbeck, sur fond de dépression sociale - dans "les raisins de la colère " - et du respect d'autrui - dans "des souris et des hommes ". Le tout mâtiné des derniers standards modernes de la mise en scène d'outre Atlantique qui font le succès des grands thrillers.
Une épopée à travers laquelle l'auteur guide son lecteur sans complaisance, avec esbroufe et plaisir.
David S. Khara nous amène doucement - mais un peu à la manière d'un Tarantino rivalisant avec les frères Coen - vers la fin de sa trilogie : le Projet Morgenstern . Projet au cours duquel les choses se délient et le pièces du puzzle se rattachent les unes aux autres.
A la manière des deux volumes précédent, cet opus se dévore avec compulsion : dès le premier chapitre, que dis-je, le premier paragraphe, le virus s'empare du lecteur pour ne le quitter qu'après le mot "fin"...
